Schneider Electric: RBC dégrade à 'sous-performance'

Dans une note de recherche, les analystes de la banque canadienne expliquent s'inquiéter de la capacité du spécialiste de la gestion de l'énergie et de l'automatisation industrielle à atteindre des objectifs jugés ambitieux.

RBC rappelle qu'alors que le groupe s'est donné comme objectif d'atteindre une croissance organique annuelle moyenne de 7% à 10% pour la période 2023-2027, alors que celle-ci a jusqu'ici avoisiné 3,2% depuis 2007.

Si le groupe devait atteindre ses prévisions, poursuit RBC, cela se ferait à la faveur du dynamisme de son secteur, explique-t-il, une perspective déjà bien intégrée dans les cours selon lui puisque le titre Schneider se négocie sur la base d'une prime alors que celui de Siemens affiche une décote de 25%.

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