(CercleFinance.com) - Merck présente aujourd'hui les résultats d'un essai de phase III évaluant Keytruda en tant que traitement adjuvant des patients atteints d'un carcinome urothélial invasif musculaire localisé (MIUC) et d'un carcinome urothélial résécable localement avancé.
Lors de la première analyse intermédiaire, après un suivi médian de 22,3 mois, Keytruda a démontré une amélioration 'statistiquement et cliniquement significative' de la survie sans maladie (DFS), soit l'un des deux critères d'évaluation principaux de l'étude.
En effet, le traitement a réduit de 31% le risque de récidive de la maladie ou de décès par rapport à l'observation des patients après intervention chirurgicale.
Cependant, l'autre critère d'évaluation principal - à savoir la survie globale (SG)- n'a pas atteint une signification statistique au moment de cette analyse intermédiaire.
Ainsi, après un suivi médian de 36,9 mois, la SG médiane était de 50,9 mois pour Keytruda contre 55,8 mois pour l'observation après intervention.
La survie globale continuera donc à être suivie à mesure que les données seront matures, rapporte le laboratoire.
' Les résultats de cette étude pivot soutiennent Keytruda comme nouvelle option adjuvante potentielle pour ces patients et démontrent son rôle croissant dans les stades précoces du cancer de la vessie', a indiqué en substance la Dr. Marjorie Green, vice-présidente senior et responsable de l'oncologie et du développement clinique mondial chez Merck Research Laboratories.
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